29th jan2012

Gérardmer : Chronicle

by Kasilla

Chronicle – Josh Trank – 1h24

Les films de super-héros c’est encore à la mode (et ça n’est ni Spiderman, ni Superman, ni les Vengeurs qui me contredirrons !). La plupart du temps – qu’ils soient bons ou mauvais – ils permettent à la nouvelle génération de découvrir les Comics (dont plutôt positif quand même). Mais parfois, on rencontre des gens dotés de pouvoirs qui ne sont issus d’aucune bande-dessinée, d’aucun roman fantastique… et c’est une vraie fraîcheur !

C’est justement le cas de Chronicle. adapté d’un scénario original de Max Landis et Josh Trank (le réal), qui nous raconte l’histoire de 3 lycéens qui vont se retrouver du jour au lendemain dotés de pouvoirs. Euphoriques devant ces nouvelles capacités, ils vont sentraîner chaque jours pour les améliorer et mieux les maitriser. Mais comment garder la tête froid quand on se sent supérieur ? Comment respecter les limites quand on a l’impression d’être invincible ?

Car comme le disait ce cher tonton Ben (Spiderman) « de grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités ». Et quand quand le souffre-douleur du lycée acquière la capacités de casser la figure à ses tortionnaires, qu’est-ce qui l’empêcherait de le faire ? La loi ? La morale ? Des notions qui peuvent vite devenir flou si on se sent rejetté par la société, sensation au combien classique chez certains adolescents.

Chronicle ne se contente pas – à grand renfort d’effets spéciaux – de nous montrer l’étendu des possibilités qu’apporte ce pouvoir, mais surtout ce qu’une personne normalement constituée peut en faire. Comment une sensation de supériorité peut vous amener à vous venger d’une société qui vous rejette…

De plus, grosse originalité : la façon dont c’est filmé. Les créateurs sont partis sur le principe qu’à notre époque, les caméras sont omniprésentes. Que ce soit via des appareils de surveillance, des caméscopes de plus en plus abordables ou de multiples appareils comme les baladeurs ou les téléphones portables qui filment, nous sommes en permanence susceptibles d’être filmés. Partant sur ce principe, même si l’un des héros filme sa vie et est du coup souvent derrière sa caméra, dès qu’il laisse la main, il y a toujours quelqu’un avec un smartphone, voir une équipe de télé, pour suivre vos faits et gestes.

Donc pas de caméra ‘démiurges’, mais une multitude d’yeux qui sont témoins de l’évolution de nos 3 super-héros, de l’étendu de leur pouvoir et de leur chute.

Donc si on résume : un scénario et des personnages inédits, des effets spéciaux impressionnants, une façon de filmer et d’appréhender de la notion de super-héros différentes… autant d’ingrédients qui font de Chronicle un film du genre superhéroïque qui sort du lot.

Un film à voir, que l’on soit super-hérophyle… ou pas (sorti le 22 février dans nos salles).

09th déc2011

Captain America SUPER Soldier

by Kasilla

Comme ça arrive de plus en plus aux blogueurs jeux vidéo (ne me demandez pas pourquoi, j’en sais fichtre rien), j’ai été invitée à la projo presse du film Captain America : First Avenger. Alors les 9/10e des projos où on nous invite n’ayant AUCUN rapport avec le monde des JV et la geekattitude… bin là j’ai forcement sauté sur l’occaz !

Je me suis donc pointée (oui, quand je dis « je » ça fait très bloggeuse mégalo, je sais :/) à la séance pour voir ce que donné cette nouvelle adaptation comic… et là franchement, j’ai été scotchée ! Mais comme c’est pas vraiment mon job de critiquer les films… je vais vous renvoyer vers un collègue NoWatch qui fait ça 1000 fois mieux que moi : Bouclier Humain : critique express de Captain America

Et là tout le monde se pose la question : « Mais c’est quoi le rapport en Captain America le film et le jeu ? »… j’y viens. Donc sortant de cette projo, j’ai croisée quelqu’un de chez Sega et là ça a fait tilt dans le melon trop mûre qui me sert de tête : « Mais oui, c’est Sega qui produit le jeu Captain America ! »… Et voilà comment je me suis retrouvée avec la galette entre les mains… alors que j’ai plutôt tendance à fuir les adaptations en JV… trop souvent complètement bâclées.

Bon, on arrête les anecdotes dont tout le monde se fout et on rentre dans le vif du sujet : « Alors, il donne quoi ce Captain America Super Soldier ? ». Tout d’abord, il faut savoir qu’au niveau scénario, l’aventure débute alors que Steve Rogers a déjà revêtu le ‘vrai’ costume du Captain (dur dur de pas spoiler -_-) et part fighter du ‘double-nazi’ (dixit Dr No) dans les tranchées.

Alors première bonne surprise : les graphismes sont pas trop mal ! La période Seconde Guerre Mondiale (avec son p’tit côté Indus) est retranscrite dans des décors un peu kitch et des tons tirant par moment sur le sépia… ça donne une petite patte plutôt agréable et ça colle nickel à l’ambiance.

Très vite, on se rend compte que le gameplay est clairement orienté ‘je mets des grands coups de bouclier dans la tronche des méchants et je ramasse plein de cochonneries en route’, traduction : aventure-action avec collectes… du classique donc. Du style, vous allez devoir récupérer 50 œufs en céramique sachant qu’il doit facilement y en avoir 70 dans tout le château. En tout cas, si vous voulez avoir un peu de résistance, je vous conseille fortement de commencer le jeu directement en difficile.

La palette de coups un peu restreinte au début et on évolue peu en court de jeu. Vos pouvoirs s’améliorent grâce aux points gagnés mais ils ne sont qu’au nombre de 3 et peuvent chacun upgrader 3 fois. Ensuite, il y a également les pouvoirs qui se débloquent au bout de quelques temps de jeux comme ceux qui utilisent la jauge de Focus ou la vision tactique, mais ils sont loin de tous être indispensables.

Côté maniabilité, le sieur Captain est un peu raide et ne répond pas toujours très vite aux commandes. Costume un peu lourd ou manche à balai dans le [censuré] le résultat est un peu frustrant, surtout quand on se retrouve entouré d’ennemis et qu’il faut réagir vite. J’ai d’ailleurs vu certains collègues critiques citer Batman Arkham Asylum pour le rythme et l’esthétique des bagarres (en beaucoup moins fluide !)… mais à ce niveau là, j’appelle plus ça de l’influence ! En même temps, vaut mieux copier un truc bien qu’un truc nul non ?

On a aussi parfois droit à des phases de plateforme (si si !), où notre super-héros doit sauter de poutre en poutre, ou faire le funambule sur des corniches (Ezioooo !). Et là – chose amusante – le problème de maniabilité a été compensé par un système de timing : vous avez juste à sauter au moment où l’élément du décor devient doré et HOP ! Vous atterrissez dessus tel un gymnaste russe au J.O. Perso, j’ai trouvé ça un peu léger voir inutile… mais d’autres apprécieront peut-être de ne pas avoir à jouer les singes entre 2 épisodes de broyage de cages thoraciques :D

Histoire de tempérer toute cette testostérone, on vous va parfois vous coller devant une porte close dans la tentative d’ouverture par la force s’avérera vaine : il va falloir trouver le code ! Et là où on aurait pu nous proposer un p’tit challenge intellectuel… on a plutôt droit à un mini jeu de synchro ambidextre : 2 schémas chacun manipulés avec un stick du paddle, 1 signe en commun entre les 2 et on doit les faire coïncider en 1 temps limite… oui moi aussi j’ai trouvé ça bof ^^’

Etrangement, malgré le fait que le titre soit une adaptation du film, il ne suit en aucun cas le scénario de celui-ci. On a plus l’impression de se retrouver dans une mission lambda du Captain que dans une véritable histoire épique. Ainsi, notre héros sera amené à affronter des ennemis qui ne sont pas présents dans l’œuvre cinématographique comme le Baron Zemo ou la plantureuse (et toute verte) Hydra.

Et parallèlement, le grand méchant de l’histoire et du film ne fait qu’une brève apparition dans le jeu. Alors certes, le fait de créer une nouvelle histoire aurait pu être une bonne chose puisqu’on n’a pas l’impression de se refaire le film. Mais malheureusement, le scénario manque cruellement de punch et de rebondissements.

La durée de vie du jeu est relativement courte. Il ne faudra pas plus de 6 heures pour terminer le mode histoire en prenant son temps et les 10 défis ne rallongeront le plaisir qu’une petite heure. De plus, le soft est vraiment très facile. Je ne suis pas une déesse du jeu d’action et pourtant je n’ai pas fait le moindre Game Over en mode normal.

Le jeu pourrait rapidement être répétitif surtout dans les nombreuses phases de combat. Mais étant donné qu’il y a pas mal de coups disponibles et que les ennemis sont relativement variés (tout comme la façon de les vaincre d’ailleurs), il faut bien avouer que le jeu se parcours plutôt agréablement et sans trop lasser.

En conclusion, même s’il n’est pas le jeu d’aventure-action de l’année, Captain America Super Soldier est d’une part c’est une bonne surprise pour une adaptation (adaptation = caca… le plus souvent), et d’autre part, les adeptes du super-héros patriote devraient apprécier sa justesse au niveau ambiance et gameplay. Mon conseil : attendre un peu que le prix baisse ou l’acheter d’occaz… et y jouer juste avant/après avoir vu le film ; )

Ceci n’est pas un article original, mais la copie de celui que j’avais écris pour LesGameuses en août dernier… faut bien remplir un blog qui démarre hein ^^’

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